Thursday, July 2, 2015

Français -- Benjamin Fulford: 29:06:2015







le 29 juin 2015



Donc, finalement on y est, la Grèce a fermé ses banques et imposé un contrôle strict des capitaux. Et en conséquence, les dominos commencent à tomber. Ce n’est que le premier acte d’un grand opéra qui va continuer à se dérouler dans les prochains mois. Pour essayer de faire une hypothèse de ce qui attend l’Union Européenne, il est bon de se rappeler ce qui s’est passé lors de la chute de l’Union soviétique.

La chute de l’Union soviétique a commencé par un profond sentiment d’insatisfaction général à l’égard du gouvernement de la part de la classe laborieuse mais aussi des élites. Cela a donné lieu à des grèves et des manifestations en Pologne qui ont ensuite mené à la chute du gouvernement polonais en juin 1989. En novembre de la même année, le mur de Berlin est tombé. Puis, en 1990, les gouvernements communistes de la Tchécoslovaquie, de la Roumanie, de la Bulgarie et de la Hongrie sont tombés. Finalement, en décembre 1991, Mikhaïl Gorbatchev a démissionné et l’Union soviétique s’est effondrée d’elle-même.



Donc maintenant que la Grèce a fait défaut, nous pouvons nous attendre à ce que l’Espagne, l’Italie, la France, l’Allemagne et finalement les Etats-Unis suivent une trajectoire relativement analogue à ce que nous avons vu en Union soviétique.


Ce que la plupart des gens ne réalisent toujours pas à propos de la chute de l’Union soviétique c’est qu’elle n’a pas été provoquée par une idéologie défaillante mais à cause d’une faillite financière. C’est pourquoi les Etats-Unis et l’Union Européenne, dont les structures sont presque exactement organisées sur le même modèle que l’Union soviétique, sont condamnés à subir le même changement de régime politique. Ils sont en faillite.

Les sources des gouvernements chinois et des pays BRICS expliquent ce qu’ils vont faire ensuite. Le numéro 2 chinois Li Keqiang va se rendre en Europe cette semaine où il annoncera que la Chine va contribuer généreusement à un fonds de reconstruction européen doté d’un budget initial de 315 milliards d’euros. Et, ce n’est pas une coïncidence que ce montant soit pratiquement identique au montant total de la dette grecque.

Pour venir en aide à l’Europe, l’offre chinoise bailleur de fonds, est l’une des raisons pour lesquelles le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, l’Italie, la Suisse, etc. ont accepté d’adhérer à la Banque Asiatique pour l’Investissement dans l’Infrastructure (AIIB).

De plus, la banque de développement des pays BRICS, la Banque Asiatique pour l’Investissement dans l’Infrastructure (AIIB) et de nombreuses autres institutions nouvelles vont également ouvrir leurs portes. Toutes ces institutions vont contribuer à canaliser un flux de 21 000 milliards de $ d’investissements chinois qui va inonder les marchés mondiaux dans les prochains mois et les prochaines années.

En parallèle, des négociations se déroulent actuellement sur les règlementations que le gouvernement chinois va appliquer à ces 21 000 milliards $ de l’épargne chinoise et comment il autorisera ses citoyens à investir à l’étranger. Au fond, cela reviendra à discuter des secteurs d’activités dans lesquels les Chinois seront autorisés à investir et quelles seront leurs limites.

Les Européens sont beaucoup plus ouverts aux investissements chinois que les Américains. Jusqu’ici, les Britanniques ont déjà proposé une offre pour un de leurs journaux principaux aux Chinois (je suis impliqué dans les négociations donc je ne peux pas révéler le nom du journal). L’accord sur le journal comportera une promesse écrite des Chinois de ne pas intervenir dans des reportages factuels. Les Britanniques vont également essayer de trouver un acquéreur chinois intéressé par l’infrastructure de réseau terrestre de British Telecom, entre autres choses.

Les Britanniques sont plus avancés dans leurs négociations avec les Chinois que les autres Européens mais vous pouvez être sûrs que les Grecs, puis les Espagnols, les Italiens et d’autres ne seront pas loin derrière.

La Hongrie a devancé le reste de l’Europe car elle a déjà accepté de participer à l’initiative sur la nouvelle « route de la soie » pour construire une importante infrastructure de transport à travers l’Eurasie.

Au contraire, les négociations entre Chinois et Américains sur les parties de l’économie américaine dans lesquelles les Chinois seraient autorisés à investir ont échoué la semaine dernière. Les sources chinoises affirment que c’est parce que les Américains n’étaient pas disposés à ouvrir suffisamment de secteurs aux investissements chinois. Les sources du Pentagone disent que les négociations ont échoué parce que les Chinois étaient réticents à commencer à fusionner les forces armées chinoises avec le Pentagone.

Des sources au Département d’Etat ont ajouté que les Chinois sont toujours aussi réticents à ouvrir leurs marchés financiers aux institutions financières occidentales. Evidemment, en constatant les dégâts que les institutions financières occidentales ont provoqués dans le monde, les réticences chinoises pour leur laisser le libre accès semblent assez compréhensibles.

Même si cette avalanche d’argent asiatique plane au-dessus des marchés mondiaux, il y a toujours des tentatives frénétiques à pieds d’œuvre, pour maintenir la solvabilité du système occidental. La dernière en date dans ce domaine, selon des sources de la droite japonaise, proviendrait d’une demande du Trésor public américain pour que le groupe Mitsubishi prenne le contrôle de l’Union de Banques Suisses (UBS).

Et, les Américains ne permettent pas à Mitsubishi de procéder à un véritable audit préalable de l’entreprise, voilà le problème.
Les gens de la droite japonaise se rappellent que la même chose s’est produite lorsqu’on a demandé aux Japonais de renflouer la banque Merrill Lynch. « Ils nous demandent juste de combler un trou noir », se sont-ils plaints.

Du fait de ses liens étroits avec David Rockefeller, le groupe Mitsubishi est le principal pouvoir derrière le régime esclave de Shinzo Abe au Japon, selon de multiples sources ici. Abe, en raison de son faible Q.I., a été envoyé à la non célèbre Université Seikeï fondée par le groupe Mitsubishi en souvenir de son grand-père criminel de guerre. Il semble que forcer Mitsubishi à acheter UBS soit un retour d’ascenseur des campagnes américaines pour avoir autorisé Mitsubishi Heavy Industries à exporter de l’armement.

La remilitarisation du Japon fait partie d’un plan proposé d’abord par le cabaliste nazi de haut rang Richard Armitage il y a plus d’une décennie. Le gouvernement Abe jette ses dernières ressources en faveur de lois visant à intégrer l’armée japonaise dans l’armée américaine. On s’attend à ce qu’ils fassent le forcing là-dessus au cours de l’été.

Cependant, il y a des indices grandissants au Japon d’une révolte contre le gouvernement esclave de Shinzo Abe. Récemment deux émissions de télévision différentes à l’audience nationale ont ouvertement affirmé que le tsunami et le désastre nucléaire du 11 mars 2011 ont été le résultat d’un sabotage délibéré.

Plusieurs personnes qui ont rencontré Abe récemment ont également affirmé qu’il semblait très affaibli par une maladie intestinale.

Il existe un scénario tangible pour remplacer Abe dès cet automne, selon plusieurs agents du pouvoir japonais. Les détails sont toujours tenus secrets mais la loge Maçonnique P2, le MI6, les sociétés secrètes asiatiques, les yakuza japonais et d’autres factions soutiennent ce scénario. Il ne reste guère que quelques esclaves Khazars de haut niveau pour soutenir Abe. Leurs noms sont connus et on leur demandera de s’éclipser cet automne.

La loge Maçonnique P2 et le Vatican négocient également des accords avec les Russes et le Pentagone pour s’assurer que l’Occident garde une part égale avec l’Asie dans le nouveau système international financier, économique et politique. Le fait que l’UBS soit liée aux Chevaliers Teutoniques et donc à la loge P2 est une indication évidente que le Vatican œuvre en faveur d’un bailleur de fonds japonais afin de s’assurer que nous n’arrivions pas à un monde unipolaire dominé par la Chine.

C’est pour cela que le Russe Vladimir Poutine a rencontré le Pape François le 10 juin dernier afin d’œuvrer en faveur d’un bloc occidental chrétien des pays de l’est, selon des sources du Pentagone. Les deux vont maintenant faire pression sur le président américain Barack Obama pour qu’il dégage de l’Ukraine, de la Syrie et ailleurs afin que les chrétiens de l’Occident puisse constituer un bloc uni, selon les sources.

En outre, le démantèlement des gangsters Khazars et de leurs sous-traitants au Moyen-Orient, en Europe, aux Etats-Unis et en Israël se poursuit. Au cours de récents développements, les Nations Unies ont de facto accusé le Premier Ministre Benyamin Netanyahou d’être un criminel de guerre.


Son arrestation est attendue une fois que les derniers éléments de son réseau aux chantages nucléaires seront démantelés. Les sources du Pentagone affirment que le démantèlement est presque achevé et que Netanyahou ira en prison « bien plus tôt que tard ».

Nous avons également confirmation sur un site lié au Mossad que les forces sous-traitantes d’Israël menacent de tuer des civils innocents pour s’efforcer de mettre fin à une campagne militaire.


C’est exactement le genre de tactique qui a entraîné les multiples accusations de crimes de guerre à l’encontre des soldats nazis.

Il y a également eu une mutinerie militaire contre le gouvernement Khazar pseudo-musulman d’Arabie Saoudite la semaine dernière dans l’attente d’une cascade de défections militaires contre ce régime.


Il y a eu également un autre signe de tension exercée à l’encontre des familles criminelles Bush et Clinton. Des sources du Pentagone affirment que Walter Scheib, le chef-cuisinier durant 11 ans de Bill Clinton et Bush Jr, a été assassiné la semaine dernière pour tenter de dissimuler toutes traces des membres du milieu.


Finalement, un coup de filet de grande envergure a conduit à l’arrestation de plus d’un millier de pédophiles aux Etats-Unis la semaine dernière.


Ceci fait suite à l’arrestation de plus de 600 d’entre eux l’année dernière au Royaume-Uni.


Au Royaume-Uni encore, les tentatives pour protéger un puissant politicien accusé de mauvais traitements et d’attouchements sur des enfants ont été déjouées sous la pression de la hiérarchie la semaine dernière.






Traduction française Patrick T rev Isabelle